Qui sommes-nous

ADEMAG : Association pour la défense et l’accompagnement des femmes victimes de violences de genre

Depuis 2018, ADEMAG soutient à Genève les femmes migrantes et vulnérables qui vivent des violences.
Nous savons que beaucoup n’ont jamais pu parler. D’autres ne savent même pas qu’elles ont des droits.
C’est pour elles que nous avons créé cet espace : féministe, multilingue, humain.

Notre mission

ADEMAG agit pour garantir aux femmes migrantes un accès réel à leurs droits, à la protection et à un accompagnement digne.

Nous créons des espaces sûrs, multilingues et humains pour que chaque femme puisse avancer à son rythme, retrouver confiance et devenir actrice de sa reconstruction.

Notre vision

Une société plus juste, plus inclusive et plus solidaire, où aucune femme n’est seule face à la violence. Nous espérons, dans un futur proche, pouvoir étendre notre accompagnement à d’autres cantons suisses où des militantes nous attendent déjà.

Nos projets phares

  • Multiplicatrices : un programme de formation pour des femmes migrantes qui deviennent des relais communautaires
  • 848 Fleurs : ateliers artistiques et politiques en hommage aux victimes de féminicides
  • Violence Basta : campagne numérique multilingue contre les violences machistes.

Pourquoi le faisons-nous ?

Ce que vivent les femmes migrantes:

Les femmes migrantes à Genève sont plus exposées aux violences, mais souvent, elles ne savent pas qu’elles peuvent être aidées.
Certaines vivent dans la peur, d’autres dans le doute ou le silence.
Beaucoup ne connaissent pas leurs droits, ne parlent pas le français, ou n’osent pas franchir les portes des institutions.

Chez ADEMAG, nous rencontrons ces femmes chaque semaine.
C’est pour elles que nous agissons.

Un accès limité à l’aide

  • Les femmes migrantes font face à des barrières linguistiques, culturelles et administratives.

  • Certaines ont peur de perdre leur permis ou leur logement en parlant.

  • D’autres sont isolées, sans réseau, ou dépendantes financièrement.

Des violences souvent invisibles

  • Les violences vécues ne sont pas toujours physiques : elles peuvent être économiques, verbales, sexuelles ou psychologiques.

  • Parfois, elles ne sont même pas identifiées comme des violences.

  • Et dans beaucoup de cas, la femme n’a jamais pu en parler à personne.

Nous sommes une équipe, un espace, une écoute. Chaque femme qui franchit notre porte rejoint une histoire plus grande que la douleur : celle de la force collective.